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zikayan a écrit:... Je ne suis pas sûr que Sylvain Chomet a eu raison de signer aussi la musique
zikayan a écrit:.... et que dire de cette mélodie douceatre au piano qui cherche peut-être à nous tirer les larmes sur tout le dernier quart du film... Je ne suis pas sûr que Sylvain Chomet a eu raison de signer aussi la musique
The film took 5 years to make. Even though I loved the art and the beautiful animation I felt that the story was kinda weak. There was no conflict or tension and very little humor for a Tati story. It will probably do well in France due to the personalities involved but I can't see American audiences going for it.
Si vous avez bon goûts vous aimerez sans doute, le nouveau Sylvain Chomet : l'illusionniste, malgré son rythme un peu lent et son histoire qui a un peu de mal à se mettre en place (en clair il y un moment dans le film où on se dit, bon où est-ce qu'on va ? C'est quoi le fil conducteur ? Mais rien de bien méchant).
Un vrai petit chef d'oeuvre. Autant les Triplettes manquaient d'une vraie fin, autant l'Illusionniste trouve tout son sens dans sa fin qui pousse vraiment à fond le concept du film c'est à dire un film sans gros plans, avec la gestuelle des personnages comme seul rythme. Et de ce fait, l'animation est plus que magistrale, surtout quand on sait que le film a été réalisé sans rotoscopie (acteurs filmés décalqués). Certaines scènes sont très émouvantes alors qu'il n'y a rien, la caméra est posée dans un coin, et c'est tout. Magique.
Bon surtout ne pensez pas rire tout le long du film ou voir quelque chose que vous connaissez déjà (sauf peut être si vous avez vu des films de Tati), vous risqueriez d'être déçu et ça serait très, très dommage. Mention spéciale aussi pour les décors.
Si vous avez bon goûts vous aimerez sans doute, le nouveau Sylvain Chomet : l'illusionniste, malgré son rythme un peu lent et son histoire qui a un peu de mal à se mettre en place (en clair il y un moment dans le film où on se dit, bon où est-ce qu'on va ? C'est quoi le fil conducteur ? Mais rien de bien méchant).
Un vrai petit chef d'oeuvre. Autant les Triplettes manquaient d'une vraie fin, autant l'Illusionniste trouve tout son sens dans sa fin qui pousse vraiment à fond le concept du film c'est à dire un film sans gros plans, avec la gestuelle des personnages comme seul rythme. Et de ce fait, l'animation est plus que magistrale, surtout quand on sait que le film a été réalisé sans rotoscopie (acteurs filmés décalqués). Certaines scènes sont très émouvantes alors qu'il n'y a rien, la caméra est posée dans un coin, et c'est tout. Magique.
Bon surtout ne pensez pas rire tout le long du film ou voir quelque chose que vous connaissez déjà (sauf peut être si vous avez vu des films de Tati), vous risqueriez d'être déçu et ça serait très, très dommage. Mention spéciale aussi pour les décors.
L’Institut Français de Meknès s’associe à l’AFCA (Association Française du Cinéma
d’Animation) et à l’ASIFA (Association Internationale du Cinéma d’Animation) pour célèbrer
la journée mondiale du cinéma d’animation. A cette occasion, L’illusionniste de Sylvain
Chomet, d’après un scénario inédit de Jacques Tati, sera programmé en avant-première
au Maroc. La projection du long-métrage à Meknès, ainsi que dans le réseau des Instituts
Français du Maroc par la suite, devait avoir lieu en présence du réalisateur. Ce dernier,
qui ne prend pas l’avion, a préféré reporter son voyage, en bateau, au Maroc. Voyage
qui necessite du temps alors que Sylvain Chomet doit se rendre à New-York, en bateau
toujours, pour la sortie de L’Illusionniste aux Etats-Unis.
Calendrier :
Institut Français de Meknès, jeudi 4 novembre 2010 :
• Séances scolaires : 10h et 15h
• Séance grand public : 19h
Institut Français de Kénitra, Espace Balzac, mecredi 10 novembre
Institut Français de Casablanca : Vendredi 12 novembre, 19h, Cinéma ABC
Institut Français de Rabat : mercredi 24 novembre, 15h, Salle Gérard Philippe
david a écrit:Je suis beaucoup plus enthousiaste par le fait que Madagascar soit aux oscars que pour L'illusionniste...
Je n'ai pas été transporté par ce film, mais surtout, on a l'impression que la plupart des films (d'anim ou pas) français qui ont des chances de concourir aux oscars partent toujours de clichés bien français qui plaisent tant aux américains... (d'où mon enthousiasme pour Madagascar qui fait exception à la règle). Si L'illusionniste se passe plus souvent en Écosse qu'en France, on garde cet esprit vieille France avec les dodoches. Je ne critique pas ce film pour cette raison, mais du coup, on a un peu l'impression que n'importe quel film français qui utilise lui-même les clichés français (Amélie Poulain, La môme, Astérix, les Ch'tis...) remportera au moins une nomination ou en tout cas, un certain succès...
Ce film était un pari risqué. Je ne peux pas dire que c'est tout à fait réussi. Mais la tentative est osée....et c'est aussi le fait de s'y être risqué qui comporte des qualités.
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