De la neige pour Noël
Posté: Lun Déc 29, 2014 8:29 pmCet après-midi je suis allée voir "De la Neige pour Noël" avec ma fille de quatre ans et demi.
Je n'avais pas entendu parler du film du tout, et ça a été une très agréable surprise.
Le film est distribué en France par l'excellente société Les Films du Préau qui l'a sorti le 26 novembre. Ils fournissent un dossier de presse qui le décrit comme "le film norvégien le plus populaire de ces dix dernières années"... ce qui me fait réfléchir que je ne m'y connais pas bien en films norvégiens...
La qualité du scénario et de l'animation en stop-motion vaut celle des studios Aardman, c'est vraiment remarquable.
Le personnage principal adulte, Feodor, a d'ailleurs l'étoffe bricoleuse d'un Wallace. Il faut le voir taper une recherche sur sa machine à écrire qui, reliée à un bras mécanique, pioche dans sa bibliothèque: l'anti-google!
Il vit à l'écart du village avec deux animaux dont il s'occupe paternellement, l'un intrépide et vantard (un canard), l'autre sentimental et peureux (un hérisson).
Très vite, on s'identifie au hérisson, qui va, au fil de l'histoire, affronter ses angoisses et grandir.
Le film a aussi son "méchant", un journaliste d'abord paresseux puis pris d'ivresse de gloire, l'occasion de brocarder les automatismes médiatiques qui moulinent du vent. Ci-dessous avec son clone mécanique, l'horripilante machine à questions.
Il y a un dossier pédagogique rédigé par Alexandre Leloup, qui est un beau travail d'analyse et agrémenté de jeux en bonus (26 pages).
Je n'avais pas entendu parler du film du tout, et ça a été une très agréable surprise.
Le film est distribué en France par l'excellente société Les Films du Préau qui l'a sorti le 26 novembre. Ils fournissent un dossier de presse qui le décrit comme "le film norvégien le plus populaire de ces dix dernières années"... ce qui me fait réfléchir que je ne m'y connais pas bien en films norvégiens...
La qualité du scénario et de l'animation en stop-motion vaut celle des studios Aardman, c'est vraiment remarquable.
Le personnage principal adulte, Feodor, a d'ailleurs l'étoffe bricoleuse d'un Wallace. Il faut le voir taper une recherche sur sa machine à écrire qui, reliée à un bras mécanique, pioche dans sa bibliothèque: l'anti-google!
Il vit à l'écart du village avec deux animaux dont il s'occupe paternellement, l'un intrépide et vantard (un canard), l'autre sentimental et peureux (un hérisson).
Très vite, on s'identifie au hérisson, qui va, au fil de l'histoire, affronter ses angoisses et grandir.
Le film a aussi son "méchant", un journaliste d'abord paresseux puis pris d'ivresse de gloire, l'occasion de brocarder les automatismes médiatiques qui moulinent du vent. Ci-dessous avec son clone mécanique, l'horripilante machine à questions.
Il y a un dossier pédagogique rédigé par Alexandre Leloup, qui est un beau travail d'analyse et agrémenté de jeux en bonus (26 pages).
